Dangerous World est une chronique occasionnelle de Toni Thai Sterrett, cinéaste, futuriste et fondateur axé sur l’intersection de la mode et de la technologie.
Séoul, en Corée du Sud, n’est pas seulement une ambiance, c’est une leçon.
À une époque où l’inflation monte en flèche et où les troubles mondiaux sont palpables, il est facile d’adopter le minimalisme, une leçon que nous pourrions vouloir emprunter à la scène de la mode de Séoul.
En septembre, je me suis rendu en Corée du Sud pour participer à une dialogue au coin du feu sur l’avenir de la mode à l’Avalanche Home aux côtés du PDG légitime Calvin Chan, animée par Tiffany Lai d’Ava Labs. L’événement a eu lieu au cours de l’une des semaines les plus excitantes de Séoul, avec des événements culturels locaux en collision, notamment la Séoul Vogue Week, la Séoul Artwork Week et la Korea Blockchain Week. La ville vibrait d’un mélange dynamique de mode, d’artwork et de technologie.
Une révélation ? La mode de Séoul n’est pas une query d’extravagance, mais une query d’essence. Au milieu du chaos de la hausse des prix et de l’incertitude qui règne dans une grande partie du monde, l’élégance sobre de Séoul en matière de mode offre un antidote. Cela suggère une manière de vivre non dictée par les excès, mais par des choix significatifs.
Sidenote : L’un de mes principaux factors à retenir est que Séoul n’a pas de « tradition de la mauvaise salope », c’est-à-dire le type des modèles Instagram (cils et vêtements soucieux du corps). Bien sûr, dans le passé, les femmes portant des chaussures hautes étaient la norme, mais voir l’adoption de chaussures confortables – principalement des baskets pour l’écrasante majorité des femmes, quel que soit leur âge – était passionnant et réaffirmant. Mes propres pieds, après Covid, ne sont pas très enthousiasmés par les talons aiguilles.
Ayant toujours apprécié les types audacieux et avant-gardistes, il était révélateur de voir les femmes coréennes adopter des vêtements amples non seulement comme une déclaration de mode, mais aussi comme une incarnation du confort, de la fonctionnalité et du type.
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Partout où je regardais, de l’avion aux rues, il y avait quelque selected de spécial à plonger dans une tradition qui embrasse à la fois la pudeur et la mode de luxe, et où la modestie ne semble pas étouffante ou intentionnelle. C’était… cool. Et cela dégageait une confiance assez horny, parce que la confiance et le fait d’être à l’aise dans sa peau sont très, naturellement horny. C’est un contraste surprenant avec le type/mode Okay-Pop qui a explosé en Occident, mettant sans prétention un Q majuscule dans “Luxe tranquille.»
Ce qui m’a vraiment marqué, c’est la domination des tenues monochromes. Avec une palette tournant principalement autour du noir, du blanc, du gris et du crème, la scène de la mode de Séoul dégage un sentiment de calme et de stabilité, ce dont nous avons désespérément besoin en ces temps de turbulences.
Bien que je laisse les specialists approfondir les nuances de la Vogue Week de Séoul, ce qui m’a frappé, c’est la façon dont la Seoul Artwork Week, qui comprenait Frieze Séoul, semblait embrasser l’intersection de la mode, de la technologie et de l’artwork de manière plus robuste que la Vogue Week. les organisateurs.
C’est probablement pour ça que des opinions comme Vogue Affaires‘ “Remark Frieze Séoul a laissé la vogue week de la ville dans la poussière” ont été formés. Cela est particulièrement vrai compte tenu de l’adoption par la Corée du Sud des applied sciences émergentes telles que l’IA et la blockchain. Frieze Séoul est vraiment le lieu où tous ces mondes se sont heurtés. Cette synthèse des disciplines lors d’événements comme la Frieze Séoul signifie un pivot vers l’innovation dans un monde en constante évolution.
Pensez aux parrainages de Frieze : des vidéos d’artwork fusion de Chanel aux salons innovants de W Idea, en passant par les époustouflantes voitures AI Canvas de BMW. Ces collaborations ne sont pas de simples stratégies advertising and marketing ; ils témoignent des possibilités infinies lorsque la mode, l’artwork et la technologie convergent.
Et c’est là que le monde, aux prises avec des défis économiques et sociétaux, peut s’en inspirer. Ce n’est plus une query de quantité, c’est une query de qualité. Il s’agit de tirer parti de la technologie, comme les imprimantes 3D, la RA et l’IA, pour s’affranchir des limites traditionnelles du consumérisme. Il s’agit de réimaginer la consommation, non pas comme un acte d’acquisition mais comme un artwork de discerner.
Ainsi, même si je ne dis pas que nous devrions tous adopter la garde-robe sud-coréenne (même si, croyez-moi, c’est tentant), il y a une sagesse indéniable dans leur approche. En ces temps d’inflation et de troubles, la fusion de la modestie, de la technologie et de la durabilité peut nous guider vers une existence plus harmonieuse et plus consciente.
Après tout, n’est-ce pas là le geste ultime de la « mauvaise garce » ?