★★★★
The Holdovers est une charmante comédie dramatique américaine réalisée par Alexander Payne. Le movie présente un casting talentueux, avec Paul Giamatti dans le rôle de Paul Hunham, Da’Vine Pleasure Randolph dans le rôle de Mary Lamb et Dominic Sessa dans le rôle d’Angus Tully. Se déroulant en 1970, il raconte l’histoire réconfortante du parcours d’un professeur d’histoire pendant les vacances de Noël dans un pensionnat de la Nouvelle-Angleterre, où il est obligé d’accompagner un groupe d’élèves qui n’ont nulle half où aller. Dès le début, The Holdovers enveloppe le public dans une atmosphère aussi réconfortante qu’une couverture chaude fraîchement sortie du sèche-linge, accompagnée d’une tasse de chocolat chaud. C’est un movie qui évoque un fort sentiment de nostalgie, semblable à celui d’insérer une copie VHS de House Alone dans le vieux magnétoscope, tout en offrant la profondeur émotionnelle des movies de vacances classiques comme It is a Great Life.
Le movie excelle sur plusieurs points. Il est clair que le décor, tant en termes de lieu que de temps, joue un rôle central dans la création de l’atmosphère du movie. Les paysages hivernaux capturent l’approche des fêtes de fin d’année et l’isolement de l’internat. Le début des années 1970 est méticuleusement recréé, avec des accessoires d’époque, une cadence de discours authentique et une partition soigneusement sélectionnée. Avant même que l’année ne soit explicitement mentionnée, le public est transporté dès les premières minutes dans cette époque.
L’une des réussites remarquables du movie est son rythme. Malgré une durée de plus de deux heures, l’histoire ne semble jamais trop longue. Ceci témoigne d’une édition et d’une rédaction habiles. Les cinéastes comprennent qu’ils ont entre les mains une histoire captivante et choisissent de ne pas la précipiter, permettant ainsi au public de savourer chaque on the spot. Ils respectent le temps du spectateur et créent un espace où la narration peut se dérouler à son propre rythme et peut même donner envie au public d’en savoir plus.
L’histoire elle-même est à la fois captivante et réconfortante sur le plan émotionnel tout en étant techniquement bien conçue. Il tisse soigneusement les hauts et les bas de ce scénario à plusieurs personnages dans un récit fluide. Cette approche réfléchie garantit que le movie fait confiance aux spectateurs pour qu’ils soient suffisamment intelligents pour comprendre l’histoire tout en ne laissant aucune place à la confusion sur les factors essentiels de l’intrigue.
De plus, les personnages, en particulier Hunham et Tully, sont magnifiquement écrits et pleinement développés. Le public acquiert une compréhension claire de ses histoires, de ses intentions et de ses actions. Leurs interactions rappellent les duos de sitcom classiques, et cette dynamique contribue au charme du movie. De plus, l’histoire introduit des rebondissements rafraîchissants dans un récit familier, gardant le public engagé et suscitant des liens émotionnels plus profonds.
Il convient de souligner que le portrait du grincheux Hunham par Paul Giamatti est tout simplement exceptionnel. Il apporte de la profondeur et des nuances au personnage, offrant bien plus qu’une easy silhouette de Scrooge pendant la période de Noël. La efficiency de Giamatti, associée à son portrait convaincant d’un personnage avec un œil de verre, laisse même le public se demander s’il en avait un depuis le début.
★★★★
The Holdovers est une charmante comédie dramatique américaine réalisée par Alexander Payne. Le movie présente un casting talentueux, avec Paul Giamatti dans le rôle de Paul Hunham, Da’Vine Pleasure Randolph dans le rôle de Mary Lamb et Dominic Sessa dans le rôle d’Angus Tully. Se déroulant en 1970, il raconte l’histoire réconfortante du parcours d’un professeur d’histoire pendant les vacances de Noël dans un pensionnat de la Nouvelle-Angleterre, où il est obligé d’accompagner un groupe d’élèves qui n’ont nulle half où aller. Dès le début, The Holdovers enveloppe le public dans une atmosphère aussi réconfortante qu’une couverture chaude fraîchement sortie du sèche-linge, accompagnée d’une tasse de chocolat chaud. C’est un movie qui évoque un fort sentiment de nostalgie, semblable à celui d’insérer une copie VHS de House Alone dans le vieux magnétoscope, tout en offrant la profondeur émotionnelle des movies de vacances classiques comme It is a Great Life.
Le movie excelle sur plusieurs points. Il est clair que le décor, tant en termes de lieu que de temps, joue un rôle central dans la création de l’atmosphère du movie. Les paysages hivernaux capturent l’approche des fêtes de fin d’année et l’isolement de l’internat. Le début des années 1970 est méticuleusement recréé, avec des accessoires d’époque, une cadence de discours authentique et une partition soigneusement sélectionnée. Avant même que l’année ne soit explicitement mentionnée, le public est transporté dès les premières minutes dans cette époque.
L’une des réussites remarquables du movie est son rythme. Malgré une durée de plus de deux heures, l’histoire ne semble jamais trop longue. Ceci témoigne d’une édition et d’une rédaction habiles. Les cinéastes comprennent qu’ils ont entre les mains une histoire captivante et choisissent de ne pas la précipiter, permettant ainsi au public de savourer chaque on the spot. Ils respectent le temps du spectateur et créent un espace où la narration peut se dérouler à son propre rythme et peut même donner envie au public d’en savoir plus.
L’histoire elle-même est à la fois captivante et réconfortante sur le plan émotionnel tout en étant techniquement bien conçue. Il tisse soigneusement les hauts et les bas de ce scénario à plusieurs personnages dans un récit fluide. Cette approche réfléchie garantit que le movie fait confiance aux spectateurs pour qu’ils soient suffisamment intelligents pour comprendre l’histoire tout en ne laissant aucune place à la confusion sur les factors essentiels de l’intrigue.
De plus, les personnages, en particulier Hunham et Tully, sont magnifiquement écrits et pleinement développés. Le public acquiert une compréhension claire de ses histoires, de ses intentions et de ses actions. Leurs interactions rappellent les duos de sitcom classiques, et cette dynamique contribue au charme du movie. De plus, l’histoire introduit des rebondissements rafraîchissants dans un récit familier, gardant le public engagé et suscitant des liens émotionnels plus profonds.
Il convient de souligner que le portrait du grincheux Hunham par Paul Giamatti est tout simplement exceptionnel. Il apporte de la profondeur et des nuances au personnage, offrant bien plus qu’une easy silhouette de Scrooge pendant la période de Noël. La efficiency de Giamatti, associée à son portrait convaincant d’un personnage avec un œil de verre, laisse même le public se demander s’il en avait un depuis le début.